• Le domaine des Gobelins

     PARIS 13 ème Le domaine des Gobelins

    La Manufacture des Gobelins,

    un repaire de lutins laborieux ?

    La teinturerie de la famille Gobelin.

    Le nom de Gobelin ne résulte nullement d’un éventuel passage intempestif

    de lutins dans ce quartier,

    mais s’inspire du nom d’un ouvrier en laine réputé,

    du 15e siècle, nommé Jehan Gobelin,

    originaire de Reims ou de Flandre.

    La première mention du nom de Gobelin

    date du mois d’août 1443, l

    orsque Jehan prit à loyer une maison de la rue Mouffetard

    « A l’enseigne du cygne »

    (d’autres sources évoquent le n°17 de la rue des Gobelins).

    La maison de Jehan donnait par derrière sur la Bièvre qui,

    à cette époque, coulait à l’air libre.

    C’est là qu’il installa son atelier de teinture qui s’étendit

    à des maisons du voisinage et acquit bientôt

    une grande réputation pour ses rouges à l’écarlate.

    A la mort de Jehan, en 1476,

    et durant un siècle et demi, sa descendance –

    « les Gobelins », donc :

    Jehan eut, il faut le dire,

    13 enfants- ne cessera d’accroître cette excellente réputation,

    au point d’éclipser les autres teintureries.

    Les Gobelin ayant fait le choix d’autres voies professionnelles,

    d’autres teinturiers en écarlate,

    les Canaye, leur succédèrent.

    Ils résidaient encore au même endroit,

    en 1539.

    La Manufacture Royale.

    En avril 1601, la tapisserie « façon des Flandres »

    fait son apparition lorsqu’Henri IV

    décide de créer la manufacture,

    dans « une grande maison  ou antiennement se faisoit teinture ».

    Les tapissiers flamands Marc de Comans

    et François de la Planche s’y établirent.

    Leurs fils leur succédèrent. L’atelier de teinture

    fut officiellement organisé par Colbert, en 1665,

    et, en 1667, il prit officiellement le nom de

    « Manufacture Royale des meubles

    et des tapisseries de la Couronne »

    et accueillit des artisans de tous ordres.

    Tout ce qui y était fabriqué appartenait au roi

    et servait à décorer les Maisons Royales.

    Depuis 1690,

    la célébrité de la Manufacture des Gobelins,

    consacrée désormais exclusivement à la tapisserie,

    n’a cessé de croître. De la manufacture du 17e siècle,

    il ne reste aujourd’hui que les bâtiments

    aux grands corps de cheminée

    qui longe la rue Berbier-des-Mets (ex-ruelle des Gobelins) ;

    la chapelle (classée) dont le chevet fait saillie sur cette rue ;

    deux inscriptions en mémoire, pour l’une,

    de Jean et Philibert Gobelin, pour l’autre,

    de Marc de Comans et de Francis de la Planche ;

    et, à l’intérieur,

    quelques métiers à tisser datant de l’époque de Colbert.

    Du 17e siècle à nos jours.

    Le 23 mai 1871, lors de la Commune,

    la Manufacture de la Savonnerie (atelier de tapis),

    installée en 1826 dans l’enclos des Gobelins,

    est partiellement incendiée.

    Elle sera reconstruite en 1914.

    Rattachée à l’administration du Mobilier national en 1937,

    la Manufacture Nationale des Gobelins

    tisse toujours des tapisseries pour décorer

    des édifices publics en faisant appel à de nombreux artistes,

    de Paul Cézane à Fernand Léger.

    A la fin des années 1970,

    la galerie de la Manufacture fut rénovée

    afin de retrouver sa mission d’origine d’espace d’expositions.

    Elle a été rouverte au public, le 12 mai 2007.

    Des lutins travailleurs ?

    Cela, c’est ce que dit l’Histoire,

    mais le démonologue Jacques Collin De Plancy,

    donne une autre version de cette origine du nom des Gobelins.

    Il pensait, lui, que les Gobelins,

    cette espèce de farfadets,

    sont à l’origine du nom de la manufacture :

    « Plus aimables sont les Gobelins,

    lutins domestiques qui se retirent d

    ans les endroits les plus cachés des maisons parisiennes

    On dit que la manufacture des Gobelins

    doit son nom à un de ces lutins qui, dans lorigine,

    venait travailler avec les ouvriers

    et leur apprendre à faire de beaux tapis. » 

    De fait, selon la légende, ce sont les Gobelins

    qui ont transmis à quelques ouvriers, l

    e secret des riches couleurs des tapisseries

    qui firent la renommée de l’établissement !

    La mise au pluriel du nom de la famille des Gobelin(s)

    est sans doute à l’origine de cette légende…

    Un mot sur l’avenue,

    la rue et l’ancienne ruelle des Gobelins.

    L’avenue des Gobelins. 

    L’avenue des Gobelins est le prolongement de la rue Mouffetard

    au sud de la Bièvre. Peu après le franchissement de la Bièvre,

    on a trouvé à son début,

    soit dans les alentours des n°s 11, 12bis, 14 et 16,

    des tombes d’une nécropole chrétienne.

    Le principal intérêt historique de cette rue très commerçante

    qui se termine à la place d’Italie est,

    sans conteste, la Manufacture nationale des Gobelins

    dont nous avons déjà parlé.

    La rue des Gobelins. 

    La rue des Gobelins se nommait

    jadis la rue de la Bièvre (ou de Bièvre).

    Elle prit son nom actuel en 1636.

    A noter, au numéro 19,

    une maison datant de la fin du 15e siècle ou du début du 16e.

    Jadis, les n°s 17 et 19 auraient fait partie

    d’une même propriété comprenant,

    d’une part, une teinturerie (n°17),

    ce qui pourrait corroborer la thèse de l’installation

    primitive de Jehan Gobelin à cet endroit,

    et, d’autre part, une maison d’habitation (n°19),

    qui, dit-on, aurait pu être la Folie-Goubelin

    qu’évoque Rabelais dans Pantagruel.

    Le n°17 est aussi l’adresse de l’Hôtel de la Reine Blanche.

    L’hôtel primitif aurait été détruit en 1404

    après le drame du Bal des Ardents (voir ci-dessous).

    Il était vraisemblablement situé dans l’actuelle rue

    de la Reine-Blanche. Il sera reconstruit à la fin

    du 15e siècle (1480) et remplacé par celui

    dont on peut encore voir les vestiges de nos jours aux n°17-19

    de la rue des Gobelins.

    Les familles des Gobelin et des Canaye,

    teinturiers de leur état, s’y seraient installés par la suite.

    L’Hôtel de la Reine-Blanche a été restauré du 18e siècle.

    L’ancienne ruelle des Gobelins.

    L’ancienne ruelle des Gobelins porte aujourd’hui le nom,

    et ce depuis 1935, de rue Berbier-du-Mets,

    du nom de Gédéon Berbier du Mets (1626-1709),

    premier intendant général du Garde-Meuble de la Couronne,

    ancêtre du Mobilier national abrité par un bâtiment

    construit en 1936. La rue a été tracée sur l’ancien lit de la Bièvre.

    Elle longe l’arrière de la Manufacture des Gobelins

    et l’on peut y voir, faisant saillie,

    un pan de l’ancienne chapelle des Gobelins,

    aujourd’hui classée.

    On y trouve également l’arrière du château

    de la reine Blanche.

    La Reine Blanche et le Bal des Ardents.

    L’Hôtel de Blanche de France ou de Blanche de Bourgogne ?

    Blanche de France (1253-1320/2),

    fille de Saint-Louis et de Marguerite de Provence,

    veuve du roi,

    auraient habité une maison voisine du couvent des Cordelières.

    Celle-ci aurait été située au fond de la cour de l’actuel n°17

    de la rue des Gobelins.

    De fait, après son mariage,

    en 1268, avec Ferdinand de Castille,

    qui devait décéder en 1275, à l’âge de vingt ans,

    Blanche prit le voile dans ce couvent où elle mourut en 1320

    ou 1322.

    Cela reste toutefois plus qu’hypothétique.

    En fait, ce que l’on nomme encore aujourd’hui

    l’Hôtel de la Reine Blanche, fut habité par Alix de Méranie,

    comtesse de Savoie, morte en 1279,

    et par sa petite-fille, Blanche de Bourgogne,

    épouse de Charles IV le Bel, morte en 1329 (ou 1328).

    Le Bal des Ardents.

    La tradition populaire du charivari se perd dans la nuit des temps.

    Jusqu’à la moitié du 20e siècle, environ,

    il était de coutume d’organiser un charivari à l’occasion

    d’un mariage jugé anormal ou contre des personnes

    contrevenant à certaines règles sociales, liées à la sexualité :

    remariage d’une veuve,

    mariage d’une femme avec un homme plus jeune,

    mariage d’une femme trop âgée

    que pour avoir des enfants,

    contre la fille-mère,

    contre un ménage dans lequel la femme

    « portait la culotte »,

    etc. Lire à ce sujet l’excellent ouvrage d’Henri Rey-Flaud,

    « Le Charivari – Les rituels fondamentaux de la sexualité »

    (Payot, 1985).

    Cette manifestation pouvait être plus ou moinsfestive ou violente,

    selon les cas.

    Ainsi, le 28 janvier 1393,

    Isabeau de Bavière décida de donner

    un bal à l’occasion du remariage d’une de ses dames d’honneur,

    Catherine de Hainserville.

    Mais, nous l’avons dit,

    le remariage d’une veuve devait, selon la coutume,

    être le sujet d’un charivari.

    Le roi Charles VI eut l’idée de se déguiser en

    « homme sauvage » avec cinq de ses gentilshommes.

    Tous revêtirent les costumes les plus extravagants,

    enduits de poix et recouvert de plumes et d’étoupe.

    Et ainsi, firent-ils leur entrée dans la salle de bal.

    Las, le duc d’Orléans, frère du roi,

    tentant de savoir lequel de ces sauvages était Charles VI,

    approcha un flambeau de l’un des comparses

    dont le vêtement prit immédiatement feu.

    Comme ils étaient enchaînés les uns aux autres,

    l’incendie se propagea très rapidement.

    Le roi fut sauvé de justesse par l’intervention de sa jeune sœur,

    la duchesse de Berry, qui l’enveloppa de son manteau,

    tandis que le sire de Nantouillet sauvait sa vie en se délivrant

    de sa chaîne et en se précipitant dans une énorme cuve remplie d’eau.

    C’est ce que l’on nomme le Bal des ardents.

    On a voulu replacer cet événement

    dans le cadre du Séjour d’Orléans ou de l’Hôtel Saint-Paul,

    mais il semble qu’il se soit bien produit

    dans l’Hôtel de la Reine-Blanche.

    Celui-ci, primitivement établi rue de la Reine-Blanche,

    fut démoli en 1404, avant d’être reconstruit à la fin du 15e siècle,

    de l’autre côté de l’avenue des Gobelins,

    et remplacé par celui dont on peut encore voir les vestiges

    de nos jours aux n°s 17-19 de la rue des Gobelins.

    La rue de la Reine Blanche.

    Cette rue, tracée en 1393,

    doit son nom à l’hôtel du même nom.

    C’est là qu’était vraisemblablement établi

    primitivement l’Hôtel de la Reine-Blanche,

    qui fut le théâtre du Bal des ardents,

    et qui fut reconstruit vers 1480,

    dans la rue des Gobelins.

    Au n°16 de cette rue vécut Jacques-Henri Bernardin

    de Saint-Pierre, l’auteur du célèbre roman

    Paul et Virginie (1786).

     


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  •  

    Le Grand Rex Type cinéma
    Le Grand Rex est une salle de cinéma parisienne située au no 1, boulevard Poissonnière dans le 2e arrondissement, sur les grands boulevards.
    Ses façades et toitures, ainsi que la salle et son décor font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 5 octobre 1981 échappant alors de peu à la destruction[réf. souhaitée]. Ce cinéma géant peut accueillir plus de 2 700 personnes dans sa configuration actuelle et affiche, encore aujourd'hui, une fréquentation de 1,25 million de visiteurs annuels.
    Au début des années 1930, Jacques Haïk, riche producteur et distributeur dans le cinéma, est propriétaire de l'Olympia à l'époque. Il se lance dans la construction d'une salle de cinéma complètement extravagante : une salle qui pourrait accueillir plus de 5 000 spectateurs sur une superficie de 2 000 m2, avec un plafond culminant à plus de 30 m, représentant une voûte étoilée.
    Ses concepteurs sont l'architecte Auguste Bluysen et l'ingénieur John Eberson.
    Le Grand Rex est un modèle réduit du célèbre Radio City Music Hall de New York.
    Le cinéma est surtout connu pour sa décoration intérieure. Spécialisés dans les « salles atmosphériques », ses architectes ont construit aux États-Unis plus de 400 décors de cités fantasmatiques sous des ciels nuageux ou étoilés.
    Ici, la grande salle a été décorée par une ville « méditerranéo-antique » en relief, située en plein air avec ses parois colorées restituant l'ambiance Art déco des villas de la « French Riviera ».
    Tous les rêves de ce visionnaire seront réalisés, à l'exception du nombre de places, qu'il a fallu ramener à 3 300 à l'origine.
    La salle du Grand Rex ouvre ses portes au soir du 8 décembre 1932 et connaît un succès immédiat. C'est l'une des plus belles salles de Paris.
    La cabine de projection se trouve dans l'encorbellement de la rue Poissonnière. La lanterne de l'angle est en fait seulement un treillis sur lequel a été projeté du ciment.
    Durant l'Occupation, le Grand Rex est réquisitionné par l'armée allemande, qui le transforme en « Soldatenkino », le réservant ainsi à ses troupes de permissionnaires.
    Des jeux d'eau animent la grande salle chaque année à Noël depuis 1954, la « féerie des eaux », peu avant la projection du film Disney de fin d'année.
    En 1957, l'escalier mécanique du Grand Rex a été inauguré par Gary Cooper et Mylène Demongeot. Ce fut la première fois qu'une salle européenne se dotait de ce genre de matériel.
    En 1974, trois petites salles ont été ajoutées au complexe, à l'emplacement des loges, salles de répétition etc., et le Rex Club, remplace le dancing « Rêve ».
    Le cinéma et sa façade art-déco ont été inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1981.

    En 1988, le Grand Rex s'offre le plus grand écran de France, le « Grand Large », 300 mètres carrés, ce qui en fait le plus grand cinéma d'Europe Le « Grand Large », concu et réalisé par Luc Heripret, est inauguré par Le Grand Bleu de Luc Besson, qui remplit la salle pendant trois ans.

    Le Grand Rex est devenu, en France et même en Europe, l'un des derniers temples du cinéma, remarquable par son architecture et sa décoration. Le Grand Rex peut accueillir aujourd'hui de 2 700 à 2 800 spectateurs et a ouvert sa programmation à des

    festivals, et aux concerts ou one-man shows de nombreux artistes qui investissent sa scène.

    Un parcours de 40 min est proposé derrière le grand écran, dans les coulisses et les espaces techniques du cinéma. Initié par Francois Confino et Philippe Hellmann, il est concu et réalisé par Luc Heripret, sous la direction de Bruno Blanckaert, en collaboration avec le scénographe Pascal Mazoyer. Le parcours évoque l'histoire du Rex pour ensuite penetrer dans le monde des métiers et des trucages du cinéma de façon interactive et ludique : parcours pédestre et filmé. Le visiteur devient peu à peu le figurant d'un tournage avant d'être projeté dans un extrait de film, dont il pourra acheter l'enregistrement


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  • Aix-les-Bains

     

    (centre ville )

     

    Aix-les-Bains est une commune française, située dans le département de la Savoie et la région Rhône-Alpes. Importante ville thermale française, elle est dotée du plus grand port de plaisance en eau douce de France2. Elle compte 27 531 habitants et fait partie de l'aire urbaine de Chambéry.

    Aix-les-Bains 

    (vue sur la montagne :est boulevard )

     

    des cotes

     

    Ville-phare de la Belle Époque de renommée internationale, Aix-les-Bains fut un haut-lieu de villégiature pour les familles princières et les gens fortunés. Si aujourd'hui elle confirme plus que jamais son statut de ville d'eau, il n'en demeure pas moins que le thermalisme n'est plus la principale activité du bassin aixois. La cité compense en partie la perte de ses curistes en développant le tourisme ; la ville, entre lac et montagne, a de nombreux atouts dans ce domaine.

     

    Mais Aix-les-Bains est aussi une ville industrielle, avec quelques grosses entreprises : Alstom (ex Areva, ex Savoisienne) en plein développement, une importante zone industrielle (Savoie Hexapole), les sièges des entreprises Léon Grosse, ABB Cellier, Aixam, une manufacture de haute maroquinerie, etc.

     

    Aix-les-Bains

    Aix-les-Bains

     

    Le dynamisme de la ville, ainsi que son environnement sont la cause d'une augmentation constante de sa population.

     

    Aix-les-Bains

     

    Aix-les-Bains se situe dans le sud-est de la France à cent sept kilomètres à l'est de Lyon. La ville est implantée dans un couloir entre la montagne du Mont Revard, premier rempart naturel du massif des Bauges à l'est et le lac du Bourget, plus grand lac naturel de France à l'ouest. De ce fait, la ville s'étend principalement sur un axe nord-sud. Son extension est telle que son agglomération se confond peu à peu avec celle de Chambéry. La superficie de la commune est de 12,62 km2, ce qui est une taille importante pour le département. Les communes limitrophes sont : Tresserve, Grésy-sur-Aix, Mouxy, Drumettaz-Clarafond, Pugny-Chatenod et Brison-Saint-Innocent. La commune est traditionnellement divisée en deux, la ville basse qui occupe les berges du lac à l'ouest et la ville haute, où se trouve le centre-ville, surplombant le lac du Bourget.

     

    Aix-les-Bains

     

    La cité s'est d'abord construite sur les hauteurs afin d'éviter les nombreuses crues3 du lac avant que celui-ci ne soit régulé notamment par le barrage de la Compagnie nationale du Rhône (CNR) entre le Rhône et le déversoir naturel du lac, le canal de Savières. L'altitude moyenne de la ville est d'environ trois cent vingt mètres alors que la partie basse de celle-ci ne se trouve qu'à deux cent vingt-quatre mètres, soit au niveau du lac.

     
     Aix-les-Bains
    Vue d'Aix-les-Bains et du lac du Bourget
     
     
    Aix-les-Bains sur la rive Est du lac du Bourget, à la partie droite de la photo
     
     Aix-les-Bains
    Aix-les-Bains à l'arrière-plan de la Dent du Chat le long de la rive est du lac du Bourget

    Le bassin versant de 560 km2 du lac du Bourget est occupé par la station thermale d’Aix-les-Bains, qui le borde sur sa rive est4. Le lac est principalement alimenté au sud par les eaux de la Leysse, et, à l'est, par celles du Tillet et du Sierroz, tous deux passant sur le territoire aixois. Des poissons indigènes peuvent être admirés dans l'aquarium d'Aix-les-Bains. La rive est, occupée par Aix-les-Bains et Tresserve, est très urbanisée et aménagée tout au long de la route et de la voie de chemin de fer (partie nord-est). De nombreux restaurants et boîtes de nuit y sont implantés (surtout sur la partie sud-est). Un complexe nautique a été aménagé sur sa rive, celui-ci comprend une piscine et une plage dont l'entrée principale de style Art déco date de 1936. Après quoi on trouve une vaste esplanade, permettant aux promeneurs de flâner et aux activités évènementielles de s'implanter temporairement sur ce site. Il offre ainsi, à tout à chacun, une vision panoramique sur le lac et la Dent du Chat, où les plus petits peuvent contempler des cygnes, des canards, des hérons, des goélands, des mouettes et des poules d'eau.

    Aix-les-BainsAix-les-Bains

    Cette esplanade est délimitée au nord et au sud par respectivement le « Grand port » et le « Petit port » constituant ainsi le port aixois qui est le plus vaste d’eau douce du pays avec mille cinq cent anneaux5, lieux privilégiés des plaisanciers du lac, les bateaux trouvant un emplacement estival ou annuel. Chaque année se déroule la fête du Nautisme. Cet évènement présente des bateaux anciens venant de tous horizons, un marché professionnel, des démonstrations ainsi que des spectacles.

    Aix-les-Bains

    Aix-les-Bains

    Aix-les-BainsAix-les-Bains

    Aix-les-BainsAix-les-Bains

     

    Aix-les-Bains est une commune française, située dans le département de la Savoie et la région Rhône-Alpes. Importante ville thermale française, elle est dotée du plus grand port de plaisance en eau douce de France2. Elle compte 27 531 habitants et fait partie de l'aire urbaine de Chambéry.

    Ville-phare de la Belle Époque de renommée internationale, Aix-les-Bains fut un haut-lieu de villégiature pour les familles princières et les gens fortunés. Si aujourd'hui elle confirme plus que jamais son statut de ville d'eau, il n'en demeure pas moins que le thermalisme n'est plus la principale activité du bassin aixois. La cité compense en partie la perte de ses curistes en développant le tourisme ; la ville, entre lac et montagne, a de nombreux atouts dans ce domaine.

    Mais Aix-les-Bains est aussi une ville industrielle, avec quelques grosses entreprises : Alstom (ex Areva, ex Savoisienne) en plein développement, une importante zone industrielle (Savoie Hexapole), les sièges des entreprises Léon Grosse, ABB Cellier, Aixam, une manufacture de haute maroquinerie, etc.

    Le dynamisme de la ville, ainsi que son environnement sont la cause d'une augmentation constante de sa population.

     

    Aix-les-Bains se situe dans le sud-est de la France à cent sept kilomètres à l'est de Lyon. La ville est implantée dans un couloir entre la montagne du Mont Revard, premier rempart naturel du massif des Bauges à l'est et le lac du Bourget, plus grand lac naturel de France à l'ouest. De ce fait, la ville s'étend principalement sur un axe nord-sud. Son extension est telle que son agglomération se confond peu à peu avec celle de Chambéry. La superficie de la commune est de 12,62 km2, ce qui est une taille importante pour le département. Les communes limitrophes sont : Tresserve, Grésy-sur-Aix, Mouxy, Drumettaz-Clarafond, Pugny-Chatenod et Brison-Saint-Innocent. La commune est traditionnellement divisée en deux, la ville basse qui occupe les berges du lac à l'ouest et la ville haute, où se trouve le centre-ville, surplombant le lac du Bourget. La cité s'est d'abord construite sur les hauteurs afin d'éviter les nombreuses crues3 du lac avant que celui-ci ne soit régulé notamment par le barrage de la Compagnie nationale du Rhône (CNR) entre le Rhône et le déversoir naturel du lac, le canal de Savières. L'altitude moyenne de la ville est d'environ trois cent vingt mètres alors que la partie basse de celle-ci ne se trouve qu'à deux cent vingt-quatre mètres, soit au niveau du lac.

     
    Vue d'Aix-les-Bains et du lac du Bourget
     
     
    Aix-les-Bains sur la rive Est du lac du Bourget, à la partie droite de la photo
     
     
    Aix-les-Bains à l'arrière-plan de la Dent du Chat le long de la rive est du lac du Bourget

    Le bassin versant de 560 km2 du lac du Bourget est occupé par la station thermale d’Aix-les-Bains, qui le borde sur sa rive est4. Le lac est principalement alimenté au sud par les eaux de la Leysse, et, à l'est, par celles du Tillet et du Sierroz, tous deux passant sur le territoire aixois. Des poissons indigènes peuvent être admirés dans l'aquarium d'Aix-les-Bains. La rive est, occupée par Aix-les-Bains et Tresserve, est très urbanisée et aménagée tout au long de la route et de la voie de chemin de fer (partie nord-est). De nombreux restaurants et boîtes de nuit y sont implantés (surtout sur la partie sud-est). Un complexe nautique a été aménagé sur sa rive, celui-ci comprend une piscine et une plage dont l'entrée principale de style Art déco date de 1936. Après quoi on trouve une vaste esplanade, permettant aux promeneurs de flâner et aux activités évènementielles de s'implanter temporairement sur ce site. Il offre ainsi, à tout à chacun, une vision panoramique sur le lac et la Dent du Chat, où les plus petits peuvent contempler des cygnes, des canards, des hérons, des goélands, des mouettes et des poules d'eau.

    Cette esplanade est délimitée au nord et au sud par respectivement le « Grand port » et le « Petit port » constituant ainsi le port aixois qui est le plus vaste d’eau douce du pays avec mille cinq cent anneaux5, lieux privilégiés des plaisanciers du lac, les bateaux trouvant un emplacement estival ou annuel. Chaque année se déroule la fête du Nautisme. Cet évènement présente des bateaux anciens venant de tous horizons, un marché professionnel, des démonstrations ainsi que des spectacles.

     

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  • lyonLyon est une commune située au sud-est de la France, au confluent du Rhône et de la Saône. C'est le chef-lieu du département du Rhône et de la région Rhône-Alpes. Ses habitants s'appellent les Lyonnais.

    Lyon est en situation de carrefour géographique, au nord du couloir naturel de la vallée du Rhône (qui s'étend de Lyon à Marseille). Située entre le Massif central à l'ouest, et le massif alpin à l'est, la ville de Lyon occupe une position stratégique dans la circulation nord-sud en Europe. Lyon se trouve à 470 km de Paris, 320 km de Marseille, 540 km de Toulouse, 420 km de Strasbourg, 160 km de Genève, 280 km de Turin, 630 km de Barcelone. Ancienne capitale des Gaules au sein de l'Empire romain, Lyon est le siège d'un archevêché dont le titulaire porte le titre de primat des Gaules. Lyon devint une ville de foire à partir du Moyen Âge, puis une place financière de premier ordre de la Renaissance à la fin du XIXe siècle. Sa prospérité économique a été portée successivement par le monopole de la soie, puis par l'apparition des industries notamment textiles, chimiques, et plus récemment, par l'industrie de l'image.

    Lyon était

     

    historiquement une ville industrielle qui a accueilli de nombreuses industries pétrochimiques le long du Rhône, nommé le couloir de la chimie. Après le départ et la fermeture des industries textiles, Lyon s'est progressivement recentrée sur les secteurs d'activité de techniques de pointe,lyon telles que la pharmacie et les biotechnologies aux côtés de Grenoble. Lyon est également la deuxième ville étudiante de France, avec quatre universités (Claude Bernard Lyon 1, Lumière Lyon 2, Jean Moulin Lyon 3 et l'Université catholique de Lyon) et lyonplusieurs grandes écoles (INSA, École centrale de Lyon, CPE Lyon, Polytech Lyon ,École catholique d'arts et métiers, École de management de Lyon Business School, ESCE Lyon, ECE Lyon, ENS Lyon, CNSMDL, Sciences Po Lyon, IDRAC Lyon, ENTPE etc.). Enfin, la ville a conservé un patrimoine architectural important allant de l'époque romaine au XXe siècle en passant par la Renaissance et, à ce titre, les quartiers du Vieux Lyon, de la colline de Fourvière, de la Presqu'île et des pentes de la Croix-Rousse sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

    lyonPar sa population, Lyon constitue la troisième commune de France, avec 484 344 habitants en 2010. Lyon est ville-centre de la 3e unité urbaine de France, laquelle comptait 1 536 974 habitants en 2009 et de la 2e aire urbaine (2 142 732 habitants en 2009) de France. Selon le critique littéraire d'entre-deux-guerres, Albert Thibaudet, « Si Paris est la capitale de la France, Lyon est la capitale de la province ». Préfecture de la région Rhône-Alpes, la ville de Lyon exerce une attraction d'importance nationale et européenne, et bénéficie ces deux dernières décennies d'un afflux de population. Avec une population légale de 1 281 971 habitants au 1er janvier 2009, la communauté urbaine du Grand Lyon est la plus peuplée de France (Paris et sa banlieue n'étant pas organisées en communauté urbaine).

    Hénon Les Lyonnais commencèrent à entendre parler de Louis Hénon à partir de l'an 1848. Il était né le 31 mai 1802, à l'école lyonvétérinaire de Lyon, dont son père occupait le poste de directeur adjoint. Malgré la mort de celui-ci, il avait fait de bonnes études, notamment de médecine à Paris. Cependant, ses passions le dirigeaient plutôt vers la botanique et la politique au premier rang de : rien, par conséquent, de très étonnant à le retrouver durant les Trois Glorieuses de 1830. Dans la foulée de ces jours du juillet romantique, il mena une vie tumultueuse parmi les républicains de la capitale, inscrivant même sur son tableau de chasse quelques jours prison préventive.
    Il se dévoua durant les tristement célèbres épidémies de choléra de 1832, et revint ensuite s'installer quelque temps à Lyon, puis à Montpellier où on le retrouve en 1841 en train de passer sa thèse de médecine. A partir de ce moment, Hénon exerce à Lyon le métier de médecin des pauvres, et mène de façon romantique et décousue une carrière politique de plus en plus en vue. Conseiller municipal de la Guillotière (1843), membre du comité électoral du quai de Retz en 1847, son ardeur républicaine est toujours vive lorsque surviennent les Journées de Février. Républicain cette fois-ci engagé, Louis Hénon va devenir peu à peu un personnage public fort populaire.
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    Le 18 décembre 1851, il vote le non à bulletin ouvert lors du plébiscite de Louis Napoléon. Aux élections législatives de l'année suivante, il emporte la députation avec 12 000 voix contre 9000 pour le candidat officiel. Il fut réélu en 1857 et en 1863, et fut l'un des cinq « protestataires ». En marge de cette carrière politique, il ne cessait par ailleurs de s'intéresser à la botanique. C'est ainsi qu'on le retrouve s'enthousiasmant pour une espèce de narcisse peu connue.
    Durant tout le Second Empire, Hénon s'insurgea contre le fait que Napoléon III avait nommé le préfet Vaisse également maire de Lyon, et il se mit ainsi à personnifier peu à peu aux yeux des Lyonnais la revendication de leurs libertés municipales perdues. Cette tyrannie impériale et parisienne ne fut sans doute pas étrangère au fait qu'à la nouvelle de la capitulation de Sedan, Lyon fut la première ville de France à proclamer la République, neuf heures avant la capitale. Le citoyen Hénon était au nombre des 78 membres du Comité de Salut Public, véritable commune insurrectionnelle où voisinaient des républicains bourgeois et des ouvriers de la section lyonnaise de l'Internationale. Maire provisoire du du VIème arrondissement depuis le 4 septembre, Hénon fut nommé maire de Lyon le 15 septembre 1870. C'est alors qu'il dut faire face, avec le préfet Challemel-Lacour aux tentatives de Bakounine pour prendre la tête de la mairie. lyon Le franc-maçon Jacques-Louis Hénon devenait ainsi le premier maire de Lyon après la longue éclipse impériale. La laïcisation des écoles congréganistes appartenant à la commune fut sans aucun doute son action la plus spectaculaire. Il est évidemment profondément indigné par l'exécution sauvage des commandant Arnaud par les émeutiers du 20 décembre et participe avec Garibaldi à ses obsèques. Par la suite, Hénon soutint activement Thiers, en qui il voyait la seule façon de consolider les institutions républicaines : « Si vous le voulez, lui écrivit-il en août 1871, appuyé sur le parti républicain et sur la gauche, vous êtes le maître de la situation ». Cette position de compromis exaspéra une bonne partie de ceux qui l'avaient soutenu, qui le qualifiaient de « Réac ». Des deux côtés, on lui reprocha son indécision (Oui, Hénon...), son inconsistance face à Thiers, sa mollesse. Le vieux militant arrivait à sa soixante-dixième année et, le 28 mars 1872, s'effondra alors qu'il était parti se reposer à Montpellier. Un drapeau noir fut hissé sur l'Hôtel de Ville de Lyon pour annoncer sa mort à la population. En 1895, on attribue son nom à l'ancienne rue Saint-Denis, dans le quatrième arrondissement. Cette rue constitue l'un des axes stratégiques du plateau de la Croix-Rousse, qu'elle traverse d'est en ouest. Sur la photo, on peut voir l'église Saint-Denis et une perspecive intéressante sur la rue, en un temps où il était facile d'y trouver une place pour se garer.

    Mercière Etymologiquement, cette dénomination a le sens de « la rue des Marchands ». Dès le début du XIIIème siècle, la rue Mercière devint la rue principale de Lyon, sur la rive gauche de la Saône. Et jusqu'au XVIIIème siècle, elle fut regardée comme telle. Il faut imaginer les façades des vieilles maisons de cette rue, couvertes d'enseignes aux noms les plus évocateurs, aux couleurs les plus vives, aux formes les plus pittoresques : celles du Grand-Paris, du Grand-Soleil, de N-D de Pitié, la Cave d'Ainay (qui appartenait à l'abbaye d'Ainay), le Maillet d'Argent...
    A l'angle de cette rue et de la rue Bouquetiers se trouvait l'Hôtel de la Rose dans lequel, jusqu'au milieu du XVème siècle, le célèbre argentier Jacques Cœur installa ses comptoirs. Jacques Cœur qui faisait à lui tout seul, disait-on, les plus vastes opérations commerciales que tous les autres négociants français ou italiens. Rue Mercière, les plus merveilleuses étoffes de soie, d'or et d'argent; rue Mercière, les monceaux de livres et de gravures à peine échappées de presses de Gryphe (à l'angle de la rue Thomassin, la maison a disparu, hélas), Rouville, Jean de Tournes, Pillehotte et beaucoup d'autres qui y tinrent ateliers. Rue Mercière, des artisans peintres, graveurs, verriers, imagiers. Rue Mercière, les Serge de Florence, des estamets de Milan, des draps d'Espagne et d'Angleterre; et tous ces produits ô combien raffinés... tous ces objets de luxe côtoyaient, rue Mercière, des bazars où s'empilaient les marchandises courantes. En 1694 une petite comédie d'un certain Legrand eut pour titre rue Mercière. Un personnage de cette piécette prétend avoir ouï dire :
    « Que marchande de drap, gantière, rubanière, Marchande de dentelle et guimpière et lingère, Souvent il s'en trouvait, de ces marchandes-là Qui quand on les pressait ... Enfin, et cætera ... »
    Rue Mercière se jouaient aussi les fameuses chevauchées à l'âne, qui raillaient les maris cocus, les facéties et les soties par temps de foire. Les libraires de la rue Mercière ont survécu jusqu'au début du vingtième siècle. Les plus importantes maisons étaient alors celles de Delaroche, et de de Périsse. C'est aussi rue Mercière que, le 2 mars 1862, furent effectués les premiers essais d'éclairage au gaz. Peu des pierres demeurent cependant debout, dont le silence et l'humidité pourraient porter jusqu'à nous tout ce qui s'est vécu là. Le dix-neuvième siècle, puis le vingtième, sont passés par là.
    La rue Mercière, à présent voie piétonne, et tout comme la rue des Marronniers voie de restauration, a perdu du temps de Louis Pradel quelques unes de ses fort belles maisons sur son côté ouest. Parmi les restaurants pour touristes se trouve une institution vénérable, le Bistrot de Lyon. La plupart des autres restaurants, comme d'ailleurs dans le quartier Saint-Jean, sont de récentes boutiques. Encore de nos jours, la rue porte bien son nom, pour le meilleur comme pour le pire

     


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  • Les secrets du roi des fromages

    A deux pas du village bucolique de Camembert, les derniers fabricants de camembert fermier AOP (Appellation d'Origine Protégé) vous invitent à découvrir les secrets du roi des fromages. A la ferme de la Héronnière, où l'on fabrique encore le fameux fromage de manière artisanale, il sera question d'AOC, de bon lait cru, de caractère et d'authenticité. Une fois incollable sur ses secrets de fabrication, vous n'aurez plus qu'à déguster !Tarifs : Gratuit

    Formagerie Durand : 02 33 39 08 08

    En savoir plus : Office du Tourisme de Normandie

     

    Camembert

    Emblème gastronomique par excellence, Le Camembert de Normandie doit son nom au village de Camembert, situé non loin de Vimoutiers, dans l'Orne.

    En vous rendant dans ce petit coin de paradis, aux confins du Pays d'Auge et du Pays d'Ouche, vous irez à la rencontre d'une Normandie authentique et riche en goûts. Camembert fait partie de ces villages que l'on prend plaisir à explorer et à photographier ! Le panneau Camembert situé à l'entrée du bourg s'y prête bien. Une halte par la Ferme Président s'impose afin de se familiariser avec les procédés de fabrication du Camembert de Normandie qui bénéficie d'une AOC (Appellation d'origine contrôlée) depuis 1983. Pour la petite histoire, sachez que l'on attribue la recette du Camembert  à une fermière du cru, Marie Harel, qui, en 1791, aurait mis au point le fameux fromage sur les conseils avisés d'un prêtre réfractaire originaire de Brie. Aux alentours du village, vous irez de découverte en découverte dans un environnement préservé, à mille lieues de l'agitation urbaine. Paisibles vallons aux verts pâturages, pommiers et manoirs à pans de bois jalonnent le parcours et invitent à la sérénité absolue.

    La Ferme Président : Pour tout savoir sur le Pays d'Auge et les différents procédés de fabrication du Camembert de Normandie.

    La Maison de Camembert : Ronde et blanche, elle ressemble, de l'extérieur, à une boîte de Camembert entrouverte. En saison, c'est un lieu d'exposition.

    Le manoir de Beaumoncel : Ce beau manoir est typique du Pays d'Auge. Il fut la demeure de Marie Harel qui aurait caché un prêtre en fuite pendant la Révolution Française. Ce même prêtre lui aurait confié une recette de fromage qu'elle adaptera
    « à sa sauce » pour en faire le célèbre Camembert.
    Ferme de la Héronnière - Fromagerie Durand : Visitez la dernière fromagerie fermière de Camembert qui produit le véritable camembert A.O.C., au lait cru, moulé à la louche.
    Aux environs...

    La Camembertière : Restaurant situé à  CHAMPEAUX et spécialisé, comme son nom l‘indique, dans les plats à base de Camembert. Mais pas seulement... La tradition y côtoie l'innovation culinaire.
    Visites chez les producteurs : À Camembert et dans les environs, poussez la porte des producteurs et découvrez le bon goût du terroir. Nombreuses sont les spécialités ornaises. Cidre et Calvados bénéficiant d'AOC mais aussi le Poiré (cidre de poires du Domfrontais), crème, tripes en brochettes de La Ferté Macé sans oublier l'incomparable boudin noir dont la capitale est Mortagne au Perche... sont autant de produits succulents qui raviront les papilles des gastronomes. 


    Le Sap : village de caractère à l'esprit médiéval accueillant un écomusée « De la pomme au calvados » où vous apprendrez les procédés de fabrication traditionnelle du cidre et de l'eau de vie.


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